mardi 30 janvier 2007

An endless number of days without end

Le goût amère et brutal du réveil qui hurle, ces matins when nothing is realy true dans ce brouillard de béatitude tout peu arriver mais rien n'a vraiment d'importance, l'envie d'un bol de lait débordant de cheeriose dorés et croquantes comme dans ses pubs trop bien faites u know? Les minutes entassées par dizaine devant la glace pour lui plaire, les doigts collant prient dans le gel séché, l'éternel insaisissable regard trop évasif pour être capturé, m'ignorer c'était la seule chose à faire pour me faire pleurer quand j'étais gosse... presque 10h, l'heure de la récrée et de l'odeur des clopes consumés par dizaines approche, mais on s'en fou nous, tous autour d'une table sur les canap de la bibliothèque des carrés de chocolat enrobés de noisettes croquantes le tout entouré d'un pain encore chaud qu'on garde entre les mains, on est presque tous la mais je ne vois qu'elle, du superbus dans l'oreille droite mon regard se pose sur elle et décolle au moindre coup d'oeil dans ma direction, des discussions sans queue ni tête sur des choses sans importances, les minutes qui s'additionnent tristement sur l'horloge rouge et noire, quelques rires, quelques silences, un morceau de ma choco plaque accepté, un sourire devenu rare, la sonnerie rappelle tristement le réveil, on suit le troupeau, on pose son cul sur des places préprogrammés, on mâche pendant des heures des futures-ex connaissances, le gong sonne encore, les chèvres se retirent et les plus sérieuses vont continuées à brouter chez elles... 18h un plongeon dans mon lit, mille regrets en tête, le manque de courage revient assez souvent ces temps ci, étendu entre les draps défaits Corneille chante à la radio de vivre ce jour comme le dernier je sourie jaune, j'éteins le poste et m'endors péniblement, j'ouvre les yeux 4h36 du mat, une douche chaude purifie mes pensée, 5h et des poussières, mille et une tentatives pour retourner aux pays des rêves,6h pas une étoile à la fenêtre,7h je sais plus comment on pleure donc j'éclate de rire tout seul devant mes cheerioses ...

Seule: Agonie feat Philemon

Test 01: We can't stop the progress

J'ai l'impression d'avoir sauté toute ma vie White men can't jump baby et je compte pas m'arrêter là aussi, je vais sauter toute ma présentation. Etant l'ado frustré et incompris j'emmerde l'ordre des choses et je te chuchote entre deux yop aux citron que tu devineras qui je suis en lisant entre mes lignes pas toujours bien tracées. Si c'est ce que tu veux savoir je suis quelqu'un qui parle beaucoup, quelqu'un qui parle trop... so drink my words through a straw


Erik Satie



Visiteurs: