vendredi 30 mars 2007

Enjoy




En attendant un nouvel article imminent, (et des plus fracassant) je tenais sans prétention à te faire partager what I love dans plus ou moins tout les milieux. Cet écart, cette fantaisie, ce blasphème? cette escapade, cette fredaine*, ce dévergondage, cette folie passagère, cette impertinence, cette extravagance, cette irrégularité de conduite, cette outrage, ce libertinage, ce scandale, ce caprice, cette incartade, ce crime ou cette peccadille s'explique par pas mal de chose en fait : ça peut te plaire, ça peut m'occuper, ça peut t'occuper, ça peut combler le vide de ces soirées ou l'ennui te tend les bras, ça peut te rendre acro, ça peut te faire vomir, dans tout les cas ça nous empêche de stagner aussi bête que nous sommes... alors look and just enjoy


Définition du jour:

*fredaine=folie de jeunesse

Animes et Mangas

Pourquoi? parce que c'est si bon et si loin d'être aussi enfantin qu'on peut le croire. Toute une culture, tout un culte, si t'es love de dragon ball Z ou pokémon oublie but if you like the furtive escape, les jolies histoires racontés sur des beautifuls graphismes, reprend en 2fois dessuite et bouffe la part de ton égo le sourire au coin des lèvres et le tout sans regret.

J'vais faire un menu best of sans passer par 4 chemins, c'est pas du happy meal, ni du hard pour autant just what I love.


Animes:



































lundi 19 mars 2007

I remerber now



Return in the past, c'était il y a 4ans dit le jeune homme dans sa courte barbe, dans ces moments où l'on découvre le rideau de nos plus beaux souvenirs, c'est la tentation de repeindre le vécu avec le plus beaux de nos pinceaux qui nous gratte alors l'esprit mais pas cette fois, étrange...




Au milieu d'une année des plus indigeste de mon existence une perle sort de son écrin, mon seul réconfort dans cet étendu de merde, mon unique coussin dans ce champs de punaises, la seule journée que j'ai eu bien fait de retenir de cette foutu année 2003. Ce devait être en janvier ou en février puisqu'il faisait encore nuit très tôt, qu'il pleuvait à la fenêtre et que l'année scolaire me paraissait encore terriblement longue. Je me souviens qu'à cette époque j'avais pas un pote en poche victime de ce qu'il appelait le redoublement utile, c'est donc seul tout les matins quand 8h sonnait que je venais trouver refuge à l'abri de mes crétins de cadet dans leur lieu de hantise, la bibliothèque. C'est dans ce coin de solitude sur un canapé près de la fenêtre et pas trop loin du radiateur que le regret de n'avoir jamais trouvé l'envie de rire devant un bon livre exacerbait mon mal de vivre. La responsable des lieux une vielle femme d'habitude si gentille et prévenante marque sa présence d'un siège vide, "bizarre" me dis je avant de continuer à scruter le plus loin possible d'ici à travers les vitres sales que pouvait m'offrir ce lieu calme et abandonné. L'heure n'a pas encore vu passer 10minutes que déjà les sanglots d'une fille en larme me sautent à l'oreille, passant le seuil de la porte épaulée et soutenue par la vielle femme c'est sur une chaise au milieu de la pièce que la pauvre fille trouve une place sur laquelle s'effondrer. Sa bienfaitrice la réconforte d'une main dans le dos et ne cesse de lui murmurer de douces paroles avant de repartir à nouveau franchir la porte dans le sens inverse. Les quelques têtes présentes se lèvent brièvement, l'air de rien observent la scène, puis replongent de manière machinale et synchronisé dans leur bouquin comme si de rien n'était. Moi mon attention n'avait pas décroché une seconde de cette fille, elle était avachi sur sa table, sa tête posée sur ses bras en croix et sa blondeur en cascade ne me laissait pas le plaisir d'apercevoir son visage. Seul les quelques gémissements discrets de son chagrin me parvenaient clairement, je lui devinais une voix claire quasi cristalline. A cet instant précis rien ne s'explique tout ce vit, mon coeur décide pour moi, je me lève m'approche du centre de la salle, dans ma tête ça crie "arête toi tout de suite espèce de tache!". J'arrive à sa table et... "Je peux m'asseoir?" elle relève alors lentement la tête pour me laisser entrevoir son jolie minois. Entre ses mèches blondes délaissées ici et là, une peau claire sans artifice où les contours de ses lèvres y étaient dessinés à merveille, ses fossettes étaient légèrement rosées par les larmes de cristal qui lui débordaient du coin des yeux pour venir couler tendrement le long de ses joues. Mais tout ceci s'estompa et s'évanoui soudainement pour ne laisser place qu'à ses yeux, ses joyaux d'un bleu troublant qui armés d'un regard d'une telle intensité désarmait le mien dans un frisson d'incompréhension qui me laissait à vif et me figé alors bouche bée dans un malaise sans nom. Ses yeux dans les miens et ce silence qui planait aussi lourdement qu'un ciel avant l'orage, cela en était presque insupportable, je cherchais à m'en dépêtrer mais en vain, la voix qui m'avait amené jusque ici m'avais lâchement abandonné quant à ma tête elle m'en demandait tant que ça en devenait presque comique "bouge, saute, chante, court, hurle fait n'importe quoi mais fait quelque chose!"."Je, désolé, suis, je voulais pas... "c'est à peu près ce que j'ai du cafouiller avant de manquer de peu de trébucher sur la chaise de derrière en tentant de faire demi tour. C'était pas rougissant mais livide que je cherchais à nouveau désespérément à fixer à travers la fenêtre du fond le point le plus éloigné d'ici. J'avais pas encore aligné deux pas que je sentis une main me saisir par la manche, je me retourne vers elle et c'est le bras tendu et les lèvres sur lignés d'un sourire qu'elle me susurra "Tu peux."Je m'assis donc face à elle, pas encore remis du premier de ses regards, les yeux baissés par peur d'être à nouveau prit dans le tourbillon hypnotique de ses bijoux azur, je sens d'ici pourtant le regard perceptible et immuable qu'elle me porte, l'attraction associé à l'envie s'en rendait insurmontable, je craque et replonge de plus belle dans cette véritable tempête d'émotions. Cette fois ci c'est différent, cherchant plus à le comprendre qu'à le fuir, son regard ne m'éblouit pas seulement, il ravive mes passions et cela aussi simplement que l'on souffle sur des braises encore chaudes pour voir apparaître les lueurs d'un rouge impériale naître dans le coeur du charbon obscurcit par les flammes du passé. S'observer dans les yeux c'est devenu un tabou inexplicable, en fait c'est l'arme ou le trésor de chacun, qu'importe ce que l'on peut dire ou penser les yeux eux ne mentent pas et nous, dans cette bibliothèque, on se disait tout sans ne jamais rien salir d'un mot, n'ayant plus conscience du temps ou même du lieu je ne saurais pas dire combien de temps je suis resté dans ses yeux et elle dans les miens, ça n'importait que trop peu pour que l'on s'en souvienne. Ce que je me rappelle en revanche c'est le moment précis ou l'on a décroché ensemble et au même instant pour dire en coeur "Tien il fait jour!"nos deux rires s'en sont ensuite suivis pendant une bonne minute, elle riait comme une enfant et avait par ailleurs la voix que je lui avait prédestiné, mais elle était par contre mille fois plus belle que j'aurais pu l'imaginer. On a discuté une heure durant causant de tout mais surtout de rien je la vouvoyais en lui parlant d'elle et l'appelait Princesse, elle riait à mes questions comme je souriais de ses réponses, les escapades qu'on entreprenait dans nos yeux respectifs ponctuées notre conversation, c'était devenu une source dans laquelle nous plongions régulièrement la soif de nous découvrir mutuellement l'un l'autre. Elle faisait semblant de lire dans les lignes de ma main, affolé sur le coup d'entrevoir ma montre, il était midi vingt, je m'excuse alors auprès de la Princesse et me répète"Quel crétin!" en rangeant mes affaires éparpillés. Debout derrière moi je l'entends murmurer"Il faut qu'on se revoit mon Prince."J'eus à peine le temps de hocher la tête en me tournant vers elle, quelle m'étreignait déjà de ses deux bras, elle versa quelques larmes sur mon épaule avant de me chuchoter à l'oreille"Je crois que je vous aimes mon Prince."Je la serra tout contre moi et ne trouvant rien de mieux à lui dire je l'embrassa sur le front et parti sans un mot. Quelques foulés plu tard, je ne la voyais pas à la fenêtre du premier étage, tant pis... Le sourire en tête, il me fallut près de 10minutes pour me rendre compte que je ne connaissais même pas son nom paniqué, je réalise alors que je ne l'ai jamais croisé au bahut, j'eus un sursaut d'effroi suivit d'une sueur froide"Et si elle n'était pas d'ici..." "Et si je ne la revoyait jamais..."ces mauvais pressentiments ont suffi à me dissuader de rentrer chez moi. Durant ces années là j'étais loin d'être un sportif, aussi, c'est le coeur comme un tambour et dégoulinant de toute l'eau de mon corps que je passe les marches 4 par 4 avant de franchir la porte de la bibliothèque en criant "Tu ne m'as même pas dit ton nom Princesse?". Horrifié je regarde alors le vide qui m'entoure "personne"c'est ce que je n'arrêtais pas de me ressasser avant de voir la vielle dame sortir de la réserve pour me dire d'un ton mielleux"Elle s'appelle Vanessa ta princesse.". Je sourie en la remerciant aussi d'un signe de la main et je me dirige à présent vers la porte de sortie. "Je pensais que tu le savais mieux que personne, vu le temps que vous avez passé à papoter ensemble."dit elle d'un air intrigué "Vous étiez là?" "Mon pauvre garçon, je vous ai vu vous parler pendant au moins 3h depuis mon bureau mais il faut croire que vous étiez tellement absorbé par ce qu'elle disait que vous ne vous êtes rendu compte de rien."En souriant je lui répondis en guise d'excuse "C'est pas moi c'est ses yeux."La vieille femme rigole et ajoute "Je veux bien te croire, mais pourquoi viens tu ici pour la voir il me semble que son train était à 12h30, non?". A partir d'ici toutes mes craintes se sont confirmés être vrais, c'était bien le dernier jour de la semaine quelle devait passer ici et elle n'avait pas à mon grand regret raté son train de 12h30 pour repartir dans je ne sais quelle région du nord de la France. J'ai broyé du noir pendant les deux trimestres qui me resté à purger dans cet établissement, Vanessa... si seulement j'avais eu le courage de lui dire que je l'aimais aussi, si seulement j'avais eu la bonne conscience de lui demander son nom, son numéro de téléphone, comme toute personne normale l'aurait faite et si et si... Mon premier coup de foudre et je pense qu'à cette ampleur aucun ne lui succédera. Au final je me dis que la promesse d'une relation si forte entre deux êtres n'est pas possible, quelle ne peut durer que le court moment que j'ai eu la chance de partager avec elle, qu'après, tout redevient normale et qu'à la longue tout ça ne peut exister que dans les films, mais qui sait... Merci malgré tout de m'avoir fait croire en l'amour car il continue de me faire vivre et d'espérer aujourd'hui encore...



Je vous aime Princesse.


  • Avril Lavigne: I'm With You
  • Final Fantasy X: Suteki Da Ne
  • Mc Solaar: Ca Me Hante
    • mercredi 14 mars 2007

      Chocaprice touch



      Let us speak about love d'une déclaration en bonne éduforme, as in the pinks movies où l'amour comme Cassius Clay gagne et gagne encore le poing levé, ce genre de story ou l'excessif passe comme une clef sous la porte, mille et un scénar en tête pour une smiling-cool-girl aux yeux rose j'attaque mon dix neuvième printemps les claques m'aiguisent toujours autant les crocs à croire que ma naïveté est frénétique, libre d'être esclave de mes pensées à l'eau de rose ma tête en ignition* me rappelle qu'elle a calciné mon coté terre à terre, L'amour est un tyran qui n'épargne personne, Corneille bavait ces mots sur son sommet de trois lettres, contrecarrer une idée si aigris par la peur de vivre et pas moins absurde que la peur de mourir est presque aussi difficile que de souffler une bougie en pleine tempête, le fait léger et incontestable qu'Un bracelet seul ne tinte pas, me suffit pour ne cesser de croire en Aphrodite, si le futur me tord les ailes je balayerai les quelques plumes abîmés qui me resteront de conscience pour alors laisser la place au chaos qui régnait déjà lors de mon aveugle croyance.


      La définition du jour:

      *ignition: état des corps en combustion.



      dimanche 11 mars 2007

      Pleasant Occupation

      Une playliste de movies this good comme l'Oasis if u see what i mean le 7ème Art is the first in reality un concentré de plaisir du bon 100%pur jus sans sucre ajouté, du volupté danone ou du Crunch brut qui te décroche la mâchoire, every man to his own taste in fact.




















































        Un genre assez noir dans l'ensemble de ces oeuvres but it's my favorite style, un jour... dis je en me livrant à nu au bon vouloir du destin je tirerai mon épingle de cette motte de foin qui compose ma vie, j'en ferai un film que j'ajouterai à cette liste, le succès pourra alors à grand pas s'en allez sombrer dans les méandres de l'enfer mon action n'aura de sens que pour le bon goût et l'amour du cinéma.




        PS: D'éventuelles propositions de films de votre part serez dans l'absolu de très bonne augure...

        vendredi 2 mars 2007

        - 99.6 -

        Il fait toujours beau au dessus des nuages, prise de conscience à 2000mètres d'altitude je revisionne mes chances cartes en main la quinte fluch sous la manche ça peut toujours servir,c'est rose fluo la Vodka malabar ça colle pas au dents mais ça te scotche sur place, un pour tous et tous pour 7 dans l'appart, logait au creux des montagnes de Luz qu'on a rempli de joies, de raclettes aux fromages, de saucissons invraisemblables et de jambons du terroir, ce paquet de clope qui tourne et tourne encore, pizza Toxto or no pizza Toxto is this the question, plutard sur les pistes faire tenir la grandeur d'une formule spirituelle dans un mouchoir de poche usagé c'est sensasse le grand maître dit" puisque tu tombes souvent la première des choses que je vais t'enseigner c'est à te relever" 6h plutard sweat à capuche noir et baggy stylé surfeur des glaces seul je suis ma ligne de conduite, l'élève a dépassé le maître sur cet étendu de blanc enneigé marqué d'un drapeau noir, au raz du sol 90° de pente 20° de soleil, la gueule in the wind à 50km/h dans un virage impossible, c'est dans cet élan de fragilité que je suis et me sens insaisissable, invincible et immortel à la fois, une boite vide c'est pas triste on en rigole encore, Cocoloco quand tu nous tiens, Tékpaf traditionnelle et supra technique face à la vierge blonde, on a hérité de la piste de danse, on y fout le dawa pour même pas 10centimes avec nos phases acrobatiquement boiteuses sous les reflets aléatoires de cette boule disco et de ces lumières changeantent, 1h30 quoi qu'on en dise dans mon lit les DVD just for me loin d'être minables j'organise ma future playliste de good movies, levais avant le coq je descends au village pour une poignée de pain frais ce décor me pique au coeur tout est si grand ici que les nuages eux même ne sont pas de taille, the last day ça patine sec pour une première fois, cette petite brunette aux yeux de biche a un prénom flash back assez gore malgré moi, la blague de la tuile aux pays des ardoises entre deux cris sauvages, mon de dieu disait il sur la plage arrière on enchaîne les bars et les barres de rire, un chocolat chaud un nuage de lait sur le dessus de la chantilly et des pépites de noisettes dans un grand verre à glace s'il vous plaît, au final on signe tous la fin de l'histoire pour un happy end réussi et croquant comme 3 paquets de chips pringles au bacon sur 300km c'est le pied à Luz, à Luz...



        In Every Sense Of The Word



        Coeur:(nom masculin)Organe musculaire, moteur de la circulation sanguine.• Poitrine, estomac.• L'ensemble des sentiments.• Courage, audace.• Partie centrale d'une chose.• Une des quatre couleurs du jeu de cartes.• Avoir, prendre quelque chose à coeur: y prendre beaucoup d'intérêt.• S'en donner à coeur joie: profiter.• Avoir le coeur sur la main: être généreux.• De bon coeur: volontiers.• Par coeur: de mémoire.• De tout coeur: en toute affection.• à coeur ouvert.• coeur à coeur.• des coeurs d'or.• fromage fait à coeur.• de grand coeur.• Haut les coeurs !
        PS: Notera-t-on le coté puéril de cet article?

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