samedi 14 avril 2007

The Strange Girl in Her Strange World's


Dans l'attente infiniment trop longue d'un dessin prit en otage entre trois bouts de gomme et un manque de claire voyance (dessin à l'effigie de la personne décrite dans cette article) je proposerai une photo quelconque choisit dans une quelconque situation au cour d'une envie des plus quelconques...

Trois gorgés de yop à la fraise devant mon clavier et cet écran qui me ronge les yeux minutes après minutes, mes mains restent muettes mais ma tête s'impatiente à cette idée des plus saugrenues qui est de la prendre pour thème. Mon alter ego compose mes journées en fait de belles mélodies et rouille en partie mon autonomie, tout ça pousse à la facilité, j'envisage bientôt de ne plus penser que sous sa juridiction. Démarrons plutôt le commencement depuis le début...


Il était une fois un ennui de plus en classe, au milieu d'une vie qui dépérie en douceur comme pour paraphrasé la possibilité d'un bonheur inaccessible. Elle est assise à côté de moi, son silence quel élégance, lui va comme un gant, mais j'ai soif d'interaction, je la teste sur une liste de questions sans réponses, leçon de vie n°320; c'est sans rien espérer de l'autre qu'on est le moins déçu. Ma surprise et ma joie éclatent dans un sourire au beau milieu du cours, pour tout dire ses réponses auraient pu être les miennes, uniquement les miennes.

-Non des petits lutins ne viennent pas éteindre la lumière du frigo quand on le referme.
-Le mystère de la tartine qui retombe toujours coté confiture a été élucidé sans peine, le coté le plus lourd d'après elle.
-La poule avant l'oeuf c'est ce qu'elle à écrit et une courte démonstration reprise de la théorie de Darwin sur l'ordre et l'évolution de la vie sur terre pour salé son argumentation.


Un besoin démesuré d'en savoir plus sur elle me dévore de l'intérieur, j'en tirerai le rideau une bonne fois pour toute sur qui elle est vraiment quelques mois plus tard pour une suite d'histoires sans histoires, même si elle est impossible à cerner au complet, je devine ses réactions et le pourquoi qui les actionnent, car on vit à présent de confidences et de drôles de stories dans les cafés, les rues, les parkings, les voitures, dans les cadis et même sur les balançoires où ses histoires de coeurs qu'elle me souffle à l'oreille s'entremêlent une à une dans ma conscience comme un méli-mélo au moins aussi tordu qu'elle. Ses ongles colorés à l'unité et ses fringues hybrides, si étranges, et si confus, lui donne cet air si décalé dont je raffole jour après jour pour un bonheur au quotidien elle peut rire d'un rien même de moi, son regard vert se perd souvent dans celui des autres qu'elle laisse intrigués sur le bord de son drôle de chemin, j'aime ça et sa manière de laisser le futile au futile d'entreprendre mille et une taches pour défendre ce quelle aime ou estime. En cas de vol ou de casse Une Mazo n'est pas remboursée, c'est un bijou des plus précieux à garder près du coeur.







Ton AlterEgo

5 commentaires:

Anonyme a dit…

quelques larmes en remerciements

Anonyme a dit…

johan je te kiffe

Nathan a dit…

johan j'ai un gros sekse

Johan a dit…

Tu n'as qu'à te pendre avec si il est assez long -___-"

Anonyme a dit…

Très joli article qui la reflète très bien, c'est vrai que vous pourriez être le frère et la soeur quelque part...
Grande admiration pour cette demoizelle de ma part en tous cas!

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