Ce 50ème article clos l'aventure Chocaprice comme je le souhaitais à son ouverture, j'dois avouer que ça ne me laisse pas indifférent de laisser la cité de mes pensés prendre l'apparence de ces ruines mourantes sur lesquels on observe seulement la poussière suivre son cours et s'entassée ou il devait jadis y avoir la trace d'un quelconque vestige qui méritait qu'on s'y attarde... J'espère que vous avez eu du plaisir à me lire à partager ma solitude, mes joies, mes peines, mes pensés du moment et à écouter les quelques musiques que je vous ai proposé, c'est à moi maintenant de vous lire. Je pense poster encore quelques articles sur Chocaprice 2 que j'ai il faut dire beaucoup délaissé au profit de se blog et me remettre au dessin par la même occasion. N'hésitez pas cependant à me donner vos impressions , vos opinions (pas forcément sur l'orthographe hein) ou encore vos souvenirs même sur des articles qui date ça fais toujours plaisir.
jeudi 27 décembre 2007
50th message
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mercredi 12 décembre 2007
Joyeuses fêtes à tous
Déjà décembre! Les saisons changent et le temps passe, les semaines devienent des mois puis des années...
Je trouve qu'un message d'Amour s'impose en cette période de fête, pour ma part je l'étendrai de ma belle jusqu'au plus près des personnes qui me sont proches. Je vous souhaite d'en faire autant, d'oublier le temps d'un noël toutes les tentions qui vous animes pour laisser place à quelques instants de bonheur. Par habitude j'aurai fait un bilan de l'année et j'aurai cité le coeur rempli de conviction mes milles et une résolutions mais non, ces derniers 365 jours m'ont appri à justement briser cette routine à avancer le coeur légé sans trop me prendre la tête, leçon de vie n°je sais plus combien: ça ne sert à rien de pousser au changement ce qui devra advenir adviendra.
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mardi 11 décembre 2007
1950'Dream
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mardi 20 novembre 2007
Phoenix Of Midnight
Activité psychique flou ou pensée confuse sur ce blog je suis plus à ça près... "Ceux qui sont vides d'imagination ne craignent pas l'obscurité." Ce dicton m'est venu un soir sur une banquette arrière en laissant des formes étranges et inquiétantes se dessiner malgré moi sur le bord d'une route forestière, je préfère écrire avant qu'une fois de plus tout ceci ne s'égare dans ma pelote cérébrale. Tient... Il est minuit pile, l'heure de la renaissance qui sait? A mon grand regret je suis loin d'être un phénix et ça mes souvenirs me le rappellent amèrement, mourant l'un après l'autre sans jamais renaître de leurs cendres. J'ai du soufre au fond du coeur et la gorge qui se ressert d'un noeud sous l'ardeur d'une vie que je pousse à la sécheresse du quotidien. Je cours et recours sur mes propres traces, une répétition acharnée vers mes rêves que j'assaisonne d'une lourde pincé de rituels avant de l'avaler d'un trait et de m'appauvrir rebarbativement. Dose quand tu poses ton pied sur la pédale. dose quand tu souffles dans ton sax. Dose quand tu pousses ta barre de fonte, dose! Dose! Dose! Jamais rien lâcher et jamais dans l'excès je pensais pourtant que tout cela serait bien plus simple...
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lundi 19 novembre 2007
BlackCat
Le revoilà passant comme l'aurait fait une ombre le long d'un mur vierge... Toujours adepte de son déhanché souple et léger, marchant sur la même ligne médiane sans que le moindre faux pas ne l'entache, ce malin, ce fauve, ce félin seyant sous son poil noir et pénétrant par son regard cristallin au aguets me fascine. Qu'elle est à la fois puissante et délicate cette plus haute marche du podium animal, la finesse et l'agilité se marient si bien dans ce petit corps fluet et pour ma part incarne au poil près l'élégance et le charme...
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jeudi 18 octobre 2007
Ma chair est tendre
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dimanche 14 octobre 2007
Muse hic
Effleure mes tympans, touche mon coeur et consume mon âme, prend moi tout entier s'il le faut. Musique fruit de mon essence, déclenche mes souvenirs les plus enfouis d'un simple claquement de note...
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Thème : Enjoy
samedi 29 septembre 2007
Draw
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Thème : Enjoy
dimanche 16 septembre 2007
Hiver
Malgré le déclin du thermomètre qui dégringolera d'ici peu, ce mélancolique assortiment me donnera toujours autant chaud au coeur...
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samedi 15 septembre 2007
Amour Egocentrique
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Thème : Love
vendredi 7 septembre 2007
Temps mort
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dimanche 26 août 2007
Tech-nolimite
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mercredi 22 août 2007
Chacun son arme
Esprit Jazz
Le saxophone :Pour qui ? Tous ceux qui sont attirés par la tonalité chaleureuse de cet instrument à très forte connotation jazz mais qui est aussi répendu dans les formations de musique classique ou de ska. Les heureux qui auront pratiqué la flûte à bec à l'école, verront en outre leurs efforts récompensés. Le doigté au saxophone est en effet le même que celui de la flûte.
Prix : 500 à 600 € pour un saxophone d'étude (qui peut durer longtemps). Entre 2000 et 3000 € pour un instrument professionnel. A noter : Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le saxophone est de la famille des bois. Il possède donc une anche comme la clarinette.
Grandes marques : Selmer, Yamaha, Leblanc
Cet article est tiré de l'Internaute.
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Thème : Enjoy
mardi 14 août 2007
Maroc
PS: Les choses changent.
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mercredi 1 août 2007
PlayAttitude
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dimanche 15 juillet 2007
Lightness
Les treillis ça devient tendance... /c'est ce que je me suis dis dans le bureau d'enrôlement./
-L'armé de terre ne peut rien t'offrir comme formation, t'as raté ton bac littéraire et en plus on a pas besoin de secrétaire ici.(rire)
-J'en veux pas de votre formation et je suis pas venu ici pour être secrétaire.
-Tu veux quoi alors?
-Transpirer.
-Signe ici et rend le reste des papiers le 6 août.
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jeudi 28 juin 2007
A Piece of Paradise
"Allez il est 7h on reprend chacun son rang et effeuillez bien on va repasser éclaircir !"
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mardi 12 juin 2007
Sun
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samedi 2 juin 2007
Søren Aabye Kierkegaard
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vendredi 1 juin 2007
Fleurte avec la lune
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lundi 21 mai 2007
Courage
Bravery style tu manques à ma vie comme Roméo à Juliette, une chute sans fond, en fait t'as jamais vraiment été là pour moi. Mordu par ton absence dès la naissance, je me revois encore orphelin de ton tacte et de ta noblesse faire front aux forts, la faiblesse de mes mensonges et de mes vices pour me tenir chaud. Face à la mort, face à l'amour, face à la peur, le même mal, la même douleur. Le temps a fait plus d'un tour depuis, j'ai troqué mes jambes tremblantes pour un corps saint en promo, même si l'esprit n'a pas encore atteint l'intégrité dans son intégralité à défaut du regard que autrui me porte et qui me pique méchamment la nuque avec ardeur. Il me plaît de penser qu'on se forge jusqu'au dernier battement de coeur et que la haine tout comme le courage se cultive chaque jour, chaque seconde, à travers chaque larme versé et chaque combat relevé afin de récolter au bout d'une vie mené avec sagesse et bravoure le titre qui nous élève au rang d'Homme.
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vendredi 11 mai 2007
Lassitude
Sur mon pieu la tête à l'endroit le reste à l'envers, j'ai les yeux grands ouverts et ne vois rien, calmement vient alors l'instant où ce qui brille finit caché derrière le rideau de mes lourdes paupières, mille cent pensées fusent alors dans mon short spirit. Dans ces moments à rallonge qui font tourner l'horloge plus qu'il ne le faudrait on se remémore les raisons et les questions qui nous rongent s'assombrissant ainsi de minute en minute puis d'heure en heure s'abandonnant sans retenue dans les méandres de cet esprit qu'on laisse nous tirailler inlassablement. Cette nuit finira par tomber mais un jour je le sais et le signe, l'ennui aura ma peau. Painting: Front Door -Sean Cheetham
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dimanche 6 mai 2007
Innocence
Si la mort à petit feu existe, c'est l'école en larme qui décroche le prix du plus grand des pyromanes. Le système éducatif te laisse à ta guise tisser l'oeuvre de ton devenir, j'y ai préféré dépeindre le présent, un triste tableau bichrome en gris & noir aux formes stricts et glauques style Hitchcock. On m'avait dit va à l'école et soit futé, fait tes devoirs apprend et dessine pas sur tes cahiers. J'ai donc vissé mon cul sur cette chaise étroite et écouté ce que le grand monsieur au regard vide avait à me chanter. Au début passionné, j'ai cru pouvoir changer le monde du bout de mon stylo. L'époque du regard qui pétille, un rien ne me fascine moi et mon imagination, nostalgie du temps ou le bien & le mal faisaient chambre à part. Je croyais que l'air du temps sifflotait faux en fait c'était le monde qui était fou, le rideau tombe, la fin des désillusions avait déjà retenti, je vide mes yeux sur mon cahier de texte et délaisse mon coeur crevé dans la poche arrière d'un cartable multicolore. Aujourd'hui j'erre de classe en classe pour y dormir une heure ou deux selon l'emploi du temps à suivre, auto défini comme la coquille vide d'un enfant perdu qui avance sans regret et sans but, le regard assombri, triste est de reconnaître que depuis tout ce temps je ne suis plus que l'ombre de moi même...
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vendredi 4 mai 2007
There Is No Place For Demons In My World
A la fenêtre le petit jour se redresse timidement dans un éclat presque aussi rouge que celui de mes yeux, Let's go, trempant ma plume dans mon chocolat au lait placé au coeur de cette chambre froide un de mes courts silences prend une longue inspiration...
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mardi 1 mai 2007
Test 02: To write without thinking
Face à l'évidence la vérité se digère aussi bien que du verre pilé dans un bol de gélatine débordant d'oeuf à l'orange. On naît, on pleure, on rit, on meurt, beaucoup de questions entre temps, très peu de réponses par la suite. J'enchaîne pas les banalités je révise juste mes classiques le tout sans peur, sans peine et sans haine malsaine, on évite les "pourquoi?" et on garde un goût de silence entre les lèvres et les yeux bien ouverts pendant tout le film. Chenapan va! T'avais cacher l'éphémère et la triste réalité sous un épais tapis d'insouciance, quelle mignonne petite sottise... Quand on tourne rue du regret ça mène nulle part mais on peut y voir des larmes qui coulent le long des trottoirs en se mélangeant à la pluie, c'est presque aussi drôle qu'un cancer de la joie en stade terminal. Ne te retourne pas dit alors le muet à l'aveugle.
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dimanche 29 avril 2007
Antipodes Bloods
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Thème : Portraits
mardi 24 avril 2007
Free Thought
Fin de ce tunnel d'inconscience à 150mètres, ce qui est à présent visé est sérieux mais par dessus tout beau & respectable, pour la suite? Un tas de jolies choses à dire en perspective, avis aux amateurs de belles phrases, c'est pas la passion mais la conviction qui m'anime au final vous verrez gicler tout cela tôt ou tard dans mes écrits, en attendant j'ai la plume bien trop légère pour en parler, de lourdes lectures s'imposent, Mardi 24avril 07 le compte à rebours est lancé.
PS: La vie c'est comme une boite de chocolat...
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vendredi 20 avril 2007
Slam Dunk
Une goutte encore chaude me coule le long du visage, à demi nu mon corps presque volcanique assis contre ce grillage laisse ma main à plat reposer en paix sur ce goudron brut et sa soeur sur un spalding tendre au cuir noir. Si l'amour se trace et s’efface comme de la craie rose sur le triste tableau noir de nos vies celui que j'ai pour le basket a été gravé au marteau-piqueur en caractère gras. Sous ce ciel bleu, combien ai-je usé de gomme sous ces paniers? L'anneau scintille au loin, du haut de ses 3m05 m'appelle en silence... A présent debout mes yeux s'engouffrent dans ces 360degrés de bonheur rouge sang, l'excitation est à son comble, je me passe la main dans la nuque et la laisse craquer dans un rapide va et viens, je fixe mon objectif et je démarre ma course en trombe. Pas après pas le rythme des sneakers et le bruit si familier de cette balle m'envahit, me voila alors prit entre l'instant et l'instinct qui n'entendant plus raisonner que les sons de ma propre respiration et ceux de mes battements de coeur éfreinés accélère et accélère encore, déjà dans la raquette le cercle est encore loin but I believe I can fly, petit à petit je quitte la terre pour une brève escapade... ça y est j'y suis, le point zéro, son absolu frôle mon âme et fait battre mes tempes plus fort à chaque fois, c'est bulet time et comme TP je décroche la lune sans la fusée, crachant le ballon dans ce cerceau qui cingle avec violence pour finalement atterrir like a wolf with her legs still was soiled coldly blood of her prey. Une fois ma soif apaisée c'est le calme qui retombe et le ciel qui reprend ses droits s'imposant de nouveau à mes yeux comme la seule limite... I Love This Game.
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Thème : Stories
samedi 14 avril 2007
The Strange Girl in Her Strange World's
Trois gorgés de yop à la fraise devant mon clavier et cet écran qui me ronge les yeux minutes après minutes, mes mains restent muettes mais ma tête s'impatiente à cette idée des plus saugrenues qui est de la prendre pour thème. Mon alter ego compose mes journées en fait de belles mélodies et rouille en partie mon autonomie, tout ça pousse à la facilité, j'envisage bientôt de ne plus penser que sous sa juridiction. Démarrons plutôt le commencement depuis le début...
Il était une fois un ennui de plus en classe, au milieu d'une vie qui dépérie en douceur comme pour paraphrasé la possibilité d'un bonheur inaccessible. Elle est assise à côté de moi, son silence quel élégance, lui va comme un gant, mais j'ai soif d'interaction, je la teste sur une liste de questions sans réponses, leçon de vie n°320; c'est sans rien espérer de l'autre qu'on est le moins déçu. Ma surprise et ma joie éclatent dans un sourire au beau milieu du cours, pour tout dire ses réponses auraient pu être les miennes, uniquement les miennes.
-Non des petits lutins ne viennent pas éteindre la lumière du frigo quand on le referme.
-Le mystère de la tartine qui retombe toujours coté confiture a été élucidé sans peine, le coté le plus lourd d'après elle.
-La poule avant l'oeuf c'est ce qu'elle à écrit et une courte démonstration reprise de la théorie de Darwin sur l'ordre et l'évolution de la vie sur terre pour salé son argumentation.
Un besoin démesuré d'en savoir plus sur elle me dévore de l'intérieur, j'en tirerai le rideau une bonne fois pour toute sur qui elle est vraiment quelques mois plus tard pour une suite d'histoires sans histoires, même si elle est impossible à cerner au complet, je devine ses réactions et le pourquoi qui les actionnent, car on vit à présent de confidences et de drôles de stories dans les cafés, les rues, les parkings, les voitures, dans les cadis et même sur les balançoires où ses histoires de coeurs qu'elle me souffle à l'oreille s'entremêlent une à une dans ma conscience comme un méli-mélo au moins aussi tordu qu'elle. Ses ongles colorés à l'unité et ses fringues hybrides, si étranges, et si confus, lui donne cet air si décalé dont je raffole jour après jour pour un bonheur au quotidien elle peut rire d'un rien même de moi, son regard vert se perd souvent dans celui des autres qu'elle laisse intrigués sur le bord de son drôle de chemin, j'aime ça et sa manière de laisser le futile au futile d'entreprendre mille et une taches pour défendre ce quelle aime ou estime. En cas de vol ou de casse Une Mazo n'est pas remboursée, c'est un bijou des plus précieux à garder près du coeur.
Ton AlterEgo
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Thème : Portraits
vendredi 30 mars 2007
Enjoy
Définition du jour:
*fredaine=folie de jeunesse
Publié par Johan
Thème : Enjoy
Animes et Mangas
Pourquoi? parce que c'est si bon et si loin d'être aussi enfantin qu'on peut le croire. Toute une culture, tout un culte, si t'es love de dragon ball Z ou pokémon oublie but if you like the furtive escape, les jolies histoires racontés sur des beautifuls graphismes, reprend en 2fois dessuite et bouffe la part de ton égo le sourire au coin des lèvres et le tout sans regret.
J'vais faire un menu best of sans passer par 4 chemins, c'est pas du happy meal, ni du hard pour autant just what I love.
- Samourai Champloo: télécharger/site officiel
- Trigun: télécharger/site officiel
- Noein: télécharger
- GTO: télécharger/site officiel
- Death Note: regarder/site officiel
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Thème : Enjoy
lundi 19 mars 2007
I remerber now
Return in the past, c'était il y a 4ans dit le jeune homme dans sa courte barbe, dans ces moments où l'on découvre le rideau de nos plus beaux souvenirs, c'est la tentation de repeindre le vécu avec le plus beaux de nos pinceaux qui nous gratte alors l'esprit mais pas cette fois, étrange...
Au milieu d'une année des plus indigeste de mon existence une perle sort de son écrin, mon seul réconfort dans cet étendu de merde, mon unique coussin dans ce champs de punaises, la seule journée que j'ai eu bien fait de retenir de cette foutu année 2003. Ce devait être en janvier ou en février puisqu'il faisait encore nuit très tôt, qu'il pleuvait à la fenêtre et que l'année scolaire me paraissait encore terriblement longue. Je me souviens qu'à cette époque j'avais pas un pote en poche victime de ce qu'il appelait le redoublement utile, c'est donc seul tout les matins quand 8h sonnait que je venais trouver refuge à l'abri de mes crétins de cadet dans leur lieu de hantise, la bibliothèque. C'est dans ce coin de solitude sur un canapé près de la fenêtre et pas trop loin du radiateur que le regret de n'avoir jamais trouvé l'envie de rire devant un bon livre exacerbait mon mal de vivre. La responsable des lieux une vielle femme d'habitude si gentille et prévenante marque sa présence d'un siège vide, "bizarre" me dis je avant de continuer à scruter le plus loin possible d'ici à travers les vitres sales que pouvait m'offrir ce lieu calme et abandonné. L'heure n'a pas encore vu passer 10minutes que déjà les sanglots d'une fille en larme me sautent à l'oreille, passant le seuil de la porte épaulée et soutenue par la vielle femme c'est sur une chaise au milieu de la pièce que la pauvre fille trouve une place sur laquelle s'effondrer. Sa bienfaitrice la réconforte d'une main dans le dos et ne cesse de lui murmurer de douces paroles avant de repartir à nouveau franchir la porte dans le sens inverse. Les quelques têtes présentes se lèvent brièvement, l'air de rien observent la scène, puis replongent de manière machinale et synchronisé dans leur bouquin comme si de rien n'était. Moi mon attention n'avait pas décroché une seconde de cette fille, elle était avachi sur sa table, sa tête posée sur ses bras en croix et sa blondeur en cascade ne me laissait pas le plaisir d'apercevoir son visage. Seul les quelques gémissements discrets de son chagrin me parvenaient clairement, je lui devinais une voix claire quasi cristalline. A cet instant précis rien ne s'explique tout ce vit, mon coeur décide pour moi, je me lève m'approche du centre de la salle, dans ma tête ça crie "arête toi tout de suite espèce de tache!". J'arrive à sa table et... "Je peux m'asseoir?" elle relève alors lentement la tête pour me laisser entrevoir son jolie minois. Entre ses mèches blondes délaissées ici et là, une peau claire sans artifice où les contours de ses lèvres y étaient dessinés à merveille, ses fossettes étaient légèrement rosées par les larmes de cristal qui lui débordaient du coin des yeux pour venir couler tendrement le long de ses joues. Mais tout ceci s'estompa et s'évanoui soudainement pour ne laisser place qu'à ses yeux, ses joyaux d'un bleu troublant qui armés d'un regard d'une telle intensité désarmait le mien dans un frisson d'incompréhension qui me laissait à vif et me figé alors bouche bée dans un malaise sans nom. Ses yeux dans les miens et ce silence qui planait aussi lourdement qu'un ciel avant l'orage, cela en était presque insupportable, je cherchais à m'en dépêtrer mais en vain, la voix qui m'avait amené jusque ici m'avais lâchement abandonné quant à ma tête elle m'en demandait tant que ça en devenait presque comique "bouge, saute, chante, court, hurle fait n'importe quoi mais fait quelque chose!"."Je, désolé, suis, je voulais pas... "c'est à peu près ce que j'ai du cafouiller avant de manquer de peu de trébucher sur la chaise de derrière en tentant de faire demi tour. C'était pas rougissant mais livide que je cherchais à nouveau désespérément à fixer à travers la fenêtre du fond le point le plus éloigné d'ici. J'avais pas encore aligné deux pas que je sentis une main me saisir par la manche, je me retourne vers elle et c'est le bras tendu et les lèvres sur lignés d'un sourire qu'elle me susurra "Tu peux."Je m'assis donc face à elle, pas encore remis du premier de ses regards, les yeux baissés par peur d'être à nouveau prit dans le tourbillon hypnotique de ses bijoux azur, je sens d'ici pourtant le regard perceptible et immuable qu'elle me porte, l'attraction associé à l'envie s'en rendait insurmontable, je craque et replonge de plus belle dans cette véritable tempête d'émotions. Cette fois ci c'est différent, cherchant plus à le comprendre qu'à le fuir, son regard ne m'éblouit pas seulement, il ravive mes passions et cela aussi simplement que l'on souffle sur des braises encore chaudes pour voir apparaître les lueurs d'un rouge impériale naître dans le coeur du charbon obscurcit par les flammes du passé. S'observer dans les yeux c'est devenu un tabou inexplicable, en fait c'est l'arme ou le trésor de chacun, qu'importe ce que l'on peut dire ou penser les yeux eux ne mentent pas et nous, dans cette bibliothèque, on se disait tout sans ne jamais rien salir d'un mot, n'ayant plus conscience du temps ou même du lieu je ne saurais pas dire combien de temps je suis resté dans ses yeux et elle dans les miens, ça n'importait que trop peu pour que l'on s'en souvienne. Ce que je me rappelle en revanche c'est le moment précis ou l'on a décroché ensemble et au même instant pour dire en coeur "Tien il fait jour!"nos deux rires s'en sont ensuite suivis pendant une bonne minute, elle riait comme une enfant et avait par ailleurs la voix que je lui avait prédestiné, mais elle était par contre mille fois plus belle que j'aurais pu l'imaginer. On a discuté une heure durant causant de tout mais surtout de rien je la vouvoyais en lui parlant d'elle et l'appelait Princesse, elle riait à mes questions comme je souriais de ses réponses, les escapades qu'on entreprenait dans nos yeux respectifs ponctuées notre conversation, c'était devenu une source dans laquelle nous plongions régulièrement la soif de nous découvrir mutuellement l'un l'autre. Elle faisait semblant de lire dans les lignes de ma main, affolé sur le coup d'entrevoir ma montre, il était midi vingt, je m'excuse alors auprès de la Princesse et me répète"Quel crétin!" en rangeant mes affaires éparpillés. Debout derrière moi je l'entends murmurer"Il faut qu'on se revoit mon Prince."J'eus à peine le temps de hocher la tête en me tournant vers elle, quelle m'étreignait déjà de ses deux bras, elle versa quelques larmes sur mon épaule avant de me chuchoter à l'oreille"Je crois que je vous aimes mon Prince."Je la serra tout contre moi et ne trouvant rien de mieux à lui dire je l'embrassa sur le front et parti sans un mot. Quelques foulés plu tard, je ne la voyais pas à la fenêtre du premier étage, tant pis... Le sourire en tête, il me fallut près de 10minutes pour me rendre compte que je ne connaissais même pas son nom paniqué, je réalise alors que je ne l'ai jamais croisé au bahut, j'eus un sursaut d'effroi suivit d'une sueur froide"Et si elle n'était pas d'ici..." "Et si je ne la revoyait jamais..."ces mauvais pressentiments ont suffi à me dissuader de rentrer chez moi. Durant ces années là j'étais loin d'être un sportif, aussi, c'est le coeur comme un tambour et dégoulinant de toute l'eau de mon corps que je passe les marches 4 par 4 avant de franchir la porte de la bibliothèque en criant "Tu ne m'as même pas dit ton nom Princesse?". Horrifié je regarde alors le vide qui m'entoure "personne"c'est ce que je n'arrêtais pas de me ressasser avant de voir la vielle dame sortir de la réserve pour me dire d'un ton mielleux"Elle s'appelle Vanessa ta princesse.". Je sourie en la remerciant aussi d'un signe de la main et je me dirige à présent vers la porte de sortie. "Je pensais que tu le savais mieux que personne, vu le temps que vous avez passé à papoter ensemble."dit elle d'un air intrigué "Vous étiez là?" "Mon pauvre garçon, je vous ai vu vous parler pendant au moins 3h depuis mon bureau mais il faut croire que vous étiez tellement absorbé par ce qu'elle disait que vous ne vous êtes rendu compte de rien."En souriant je lui répondis en guise d'excuse "C'est pas moi c'est ses yeux."La vieille femme rigole et ajoute "Je veux bien te croire, mais pourquoi viens tu ici pour la voir il me semble que son train était à 12h30, non?". A partir d'ici toutes mes craintes se sont confirmés être vrais, c'était bien le dernier jour de la semaine quelle devait passer ici et elle n'avait pas à mon grand regret raté son train de 12h30 pour repartir dans je ne sais quelle région du nord de la France. J'ai broyé du noir pendant les deux trimestres qui me resté à purger dans cet établissement, Vanessa... si seulement j'avais eu le courage de lui dire que je l'aimais aussi, si seulement j'avais eu la bonne conscience de lui demander son nom, son numéro de téléphone, comme toute personne normale l'aurait faite et si et si... Mon premier coup de foudre et je pense qu'à cette ampleur aucun ne lui succédera. Au final je me dis que la promesse d'une relation si forte entre deux êtres n'est pas possible, quelle ne peut durer que le court moment que j'ai eu la chance de partager avec elle, qu'après, tout redevient normale et qu'à la longue tout ça ne peut exister que dans les films, mais qui sait... Merci malgré tout de m'avoir fait croire en l'amour car il continue de me faire vivre et d'espérer aujourd'hui encore...
Je vous aime Princesse.
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mercredi 14 mars 2007
Chocaprice touch
Let us speak about love d'une déclaration en bonne éduforme, as in the pinks movies où l'amour comme Cassius Clay gagne et gagne encore le poing levé, ce genre de story ou l'excessif passe comme une clef sous la porte, mille et un scénar en tête pour une smiling-cool-girl aux yeux rose j'attaque mon dix neuvième printemps les claques m'aiguisent toujours autant les crocs à croire que ma naïveté est frénétique, libre d'être esclave de mes pensées à l'eau de rose ma tête en ignition* me rappelle qu'elle a calciné mon coté terre à terre, L'amour est un tyran qui n'épargne personne, Corneille bavait ces mots sur son sommet de trois lettres, contrecarrer une idée si aigris par la peur de vivre et pas moins absurde que la peur de mourir est presque aussi difficile que de souffler une bougie en pleine tempête, le fait léger et incontestable qu'Un bracelet seul ne tinte pas, me suffit pour ne cesser de croire en Aphrodite, si le futur me tord les ailes je balayerai les quelques plumes abîmés qui me resteront de conscience pour alors laisser la place au chaos qui régnait déjà lors de mon aveugle croyance.
La définition du jour:
*ignition: état des corps en combustion.
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Thème : Love
dimanche 11 mars 2007
Pleasant Occupation
Une playliste de movies this good comme l'Oasis if u see what i mean le 7ème Art is the first in reality un concentré de plaisir du bon 100%pur jus sans sucre ajouté, du volupté danone ou du Crunch brut qui te décroche la mâchoire, every man to his own taste in fact.
Un genre assez noir dans l'ensemble de ces oeuvres but it's my favorite style, un jour... dis je en me livrant à nu au bon vouloir du destin je tirerai mon épingle de cette motte de foin qui compose ma vie, j'en ferai un film que j'ajouterai à cette liste, le succès pourra alors à grand pas s'en allez sombrer dans les méandres de l'enfer mon action n'aura de sens que pour le bon goût et l'amour du cinéma.
PS: D'éventuelles propositions de films de votre part serez dans l'absolu de très bonne augure...
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Thème : Enjoy